C’est depuis deux jours que les étudiants en première licence département de communication sociale ont commencé un nouveau cours après près d’un mois de chômage.
Au cours des enseignements, il a été demandé aux préfinalistes en sic d’acheter un syllabus pour la bonne continuité du cours.
À leur grande surprise, ils ont répondu à l’enseignant qu’ils n’ont jamais acheté un support au contraire photocopier ou prendre le fichier pour impression.
Sans beaucoup discuter l’enseignant a tenu informé l’auditoire du règlement qui régit l’achat des syllabus selon le volume horaire du cours.
Il a été de devoir aux humbles étudiants d’aller se renseigner au décanat de la faculté. Présents, le secrétaire académique facultaire et l’apariteur ont confirmé l’existence du dit règlement.
À eux d’ajouter, » pour un cours de 45heures, le syllabus se vend à 4$ et cela au décanat » Il y a une part qui reste à la faculté, une part va au secrétariat général académique et une part revient au titulaire de cours.
Interrogé par Global étudiant , un étudiant de l1 C.s a qualifié ce règlement du prolongement du fameux » sauvons l’année » car selon lui, c’est au treizième cours sur les quinze possibles de la promotion qu’il est surpris désagréablement.
Il faut noter qu’un terain d’attente n’est pas jusqu’à présent trouvé entre les trois parties (étudiants, décanat et enseignant) et que les étudiants ne veulent pas entendre parler de cette nouveauté. Ils se disent prêts à prendre notes jusqu’au dernier mot du cours. Ceux-ci font allusion aux anciens et récents règlements de l’université interdisant l’achat des syllabus tout en confirmant ne pas être tenus informés du contraire.
Il faut noter que le slogan » sauvons l’année » est apparu au moment des sensibilisations aux étudiants à payer 50$ supplémentaires aux frais d’études payés au taux de 920fc, 1 $, après la décision du ministère de l’esu reglementant les paiements des frais académiques en francs congolais.